La création et le développement d’internet ont conduit à la naissance de nouveaux genres d’activités lucratives qui prolifèrent et se développent de plus en plus. De nos jours, il est, par exemple, possible de vivre de la production et de la diffusion de contenus médias sur internet. Cependant, les créateurs ne jouissent pas vraiment du produit de leur travail. C’est donc à ce niveau que TRON intervient. Allons donc à la découverte de ce réseau.
Qu’est-ce que TRON ?
Créé en 2007 par Justin Sun, TRON était une monnaie virtuelle située sur l’ERC-20, porté par le réseau Ethereum. Cependant, TRON s’est détaché d’Ethereum en 2018, et est donc devenu, dès lors, indépendant. N’hésitez pas à cliquer sur le lien suivant pour obtenir plus d’informations.
Aujourd’hui, TRON est un système d’exploitation qui repose sur une blockchain. À partir de cette dernière, il est donc possible de concevoir des applications décentralisées et partager des données médiatiques. Par ailleurs, TRON (TRX) existe toujours sous forme de cryto-monnaie (monnaie virtuelle) qui permet d’avoir accès à certaines fonctionnalités du réseau. Toutefois, elle demeure une réserve de valeur et peut donc être tradée sur les cryto-bourses.
Le but de la création de TRON
Le but de la création de TRON est de venir à la rescousse à des producteurs de contenus médias, afin qu’ils jouissent plus amplement des fruits de leurs travaux.
En effet, l’organisation actuelle de l’industrie médiatique fait que les grandes entreprises comme Youtube, Facebook et autres ont une main sise considérable sur les médias publiés et visionnés sur leur plateforme. Outre le fait de se tailler la part du lion, ces industries ont également le contrôle sur ce qui peut être vu ou pas sur leur site. Par conséquent, les vrais producteurs de ces contenus ne perçoivent qu’une petite partie des fruits de leurs efforts.
Le réseau TRON permet de se passer d’intermédiaire, et permet aux créateurs de profiter directement du produit de leur travail grâce à l’utilisation des jetons TRON (TRX). Les producteurs de médias détiennent alors le contrôle sur la totalité de leurs productions.